• Depuis le 9 mai, je suis en stage dans une radio bien sympathique..... Ancienne comédienne, de renom, parmis celles qui ne sont jamais monté sur scène hehehe (bon excepté les planches du conservatoire nationale d'art dramatique oui monsieur, oui madame, mais que pour le premier tour, après ils m'ont jetée! Salauds!)

    Bref. Je disais donc, un an déjà que je me suis reconvertie au journalisme.. AHHHHHHH le journalisme... Quel beau métier n'est-ce pas???
    C'est vrai.. c'en est un. ON voit beaucoup de monde, on ressoit des cadeaux presses, on se fait harcelé par les gens pour qu'on fasse un reportage sur eux... 
    Oui enfin.. dans la demie mesure quand même..

    Je suis donc en stage.. .oui oui oui ... le plus dur c'est que ça me plait et que je vais devoir dès octobre retourner dans cette horrible école qui s'appelle DGSU ZW comme toutes les écoles privées de France et de Navarre. Oui ça sera dur. D'autant plus que je n'ai qu'une envie c'est de voir du pays. Je prévois donc après mes stages (après je bosse pour un mois dans un magazine mais pas de filles! sans aucune arrière pensée mais bon c'est pas mon truc) de partir peut-être en Algarve, au Maroc et après un mois à Oxford pour commencer mon : "ça commence à bien faire maintenant de baragouiner trois mots de rosebeef"

    A mon retour de "là-bas où il pleut même plus qu'à Paris j'vous jure" je tenterai même de poster en anglais. Allez! juste une fois pour rigoler!
    Après je me procurrrrerrrrai la méthode Assimil (top cette méthode, indeed) pour les pros et là je bosserai hyper vachement, en même temps que mon arabe déjà entamé. A ce moment là, dites vous que j'aurai déjà quelques notions de Portugais avec ma semaine dans le sud de ce si beau pays. Méthode intensive donc jusqu'en Janvier, et en Janvier hehehehe Insha Allah ok mais bon on va faire tout ce qu'on peut : De nouveau stage de deux mois en Angleterre ou en Irlande !!! yeahhhhhhhh (oui je suis pas assez snob il parait pour que je parte à New-york, sorry my dear) Bref. Retour en Février, le même mois ma soeur reviendra de 6 mois d'Espagne (Erasmus oblige) et là je lui demanderai des cours de conversation en espagnol....

    Vous suivez toujours???? C'est pas un programme de ouf ça???

    je suis en train me demander si j'aurai pas mieux fait de poster ce texte dans la rubrique "qu'est qu'on fait " ayant pour thème : qu'est-qu'on fait quand on a pas de mec.. hehehehe on apprends les langues et on se tiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiire (pour en rencontrer pleins mais partout dans le monde hehehe pas bête hein?)

    Allez des bisous vous .. hehehe 


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    Démocratie à la carte ou inégalité de la défense des grands principes démocratiques

     

    Le 21 janvier, Ilan Halimi, 23 ans, est enlevé, séquestré et torturé. Il est découvert agonisant près de la gare de Sainte-Geneviève des Bois. Horreur générale face aux actes perpétrés par ces « barbares ». Psychose, lorsque la confession religieuse d'Ilan est soulignée. La Communauté Juive est bouleversée. Une semaine plus tard, la juge d'instruction, Corinne Goetzmann, retient l'hypothèse du crime raciste afin de pouvoir explorer toutes les directions. C'est alors que Nicolas Sarkozy, lors d'une séance à l'Assemblée, lance une de ses phrases choc « Antisémitisme par de l'Amalgame ». L'escalade de la psychose juive prend de l'ampleur alors que l'enquête est en cours, et l'hypothèse devient certitude. Pourtant, lundi 20 février, lors du dîner annuel du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif), Une attitude nuancée a été préférée. Après plusieurs incidents dont le caractère antisémite s'était avéré infondé, la CRIF a eu le bon sens de demander aux juifs de France d'attendre les conclusions de l'enquête. Sa seule demande auprès de son invité Dominique de Villepin a été de mettre en lumière la vérité de cette atrocité. Préciser que la CRIF n'est pas dans la course aux présidentielles n'est pas superflu pour savoir qui écouter.

     

    Complément d'enquête qu'on préfère ignorer

    Une enquête était déjà ouverte par la Brigade de répression du Banditisme (BRB) concernant les activités de ce groupe dont ils ignoraient encore l'identité. « Les Barbares » signaient leurs menaces et rackets de chefs d'entreprises, de personnalités et de médecins sous le nom de clandestins corses « Armata Corsa ». Le premier facteur de cible des rançonnés est la fortune. Soit, c'est du reste la preuve que le groupe avait bien compris le principe d'une demande de rançon. Sur une vingtaine de victimes, un quart était de religion juive. Le seul dénominateur commun qu'observe la Police Judiciaire est géographique : toutes ces personnes vivaient dans la banlieue sud de Paris, près de Bagneux. Ce complément d'information, dénué d'éléments détonateurs, ne connaît pas aujourd'hui le succès qu'a connu les phrases chocs. Stupéfaction. Quant des citoyens anonymes menacent l'avocat à la défense, ainsi que les familles des suspects, personne ne cri à l'indignation.

     

    Une démocratie qui a bon dos

    L'appel solennel du droit de liberté d'expression sonne encore en écho depuis l'affaire des caricatures de Mahomet. Pilier de la démocratie, Elle a été défendue par l'ensemble des citoyens et de ses politiques, en tant que garant des principes fondamentaux de notre nation. La religion a été remise à sa place. Nos dirigeants ont souligné le caractère impératif que revête la priorité de la laïcité sur la croyance de chacun.

    L'affaire Outreau a donné, elle aussi, sa leçon. Mise en lumière de la nécessité absolue pour une justice respectable : la présomption d'innocence, et la considération des personnes impliquées. A l'heure donc, où les principes démocratiques sont avancés sur la place publique, l'avocat à la Défense de Youssouf Fofana se désiste sous la menace. Les familles des suspects vivent cloîtrés, certaines même sont contraintes de déménager. «Tout cela est la preuve que l'opinion publique n'a toujours pas compris la mission démocratique confiée à l'avocat de la défense», se désole Me Alex Ursulet, l'ancien avocat de Guy Georges. La loi du Talion n'est pas censée être tolérée dans notre société régie par le caractère civilisée qu'elle se targue d'avoir.

     

    Déshumanisation au profit du Communautarisme

    L'individualité a élu domicile en Occident. Fille du principe de liberté individuelle, elle est montrée du doigt. Constat désespérant des générations précédentes, elle a pour amis, les nouveaux moyens de communication, ainsi que notamment la télé-réalité. Parallèlement, la montée en puissance de l'esprit communautaire est surveillée. Les politiques et autres groupes de pression sont visiblement soucieux de sauvegarder l'identité nationale. Un constat se pose aux vues des réactions suscitées par le drame d'Ilan Halimi : Le communautarisme ne cesse d'être ballotté entre la proscription et l'impunité. Seule chose certaine : cette inconstance ne sert ni les communautés, ni le reste de la population, mais la course aux présidentielles et la pêche à l'électorat. C'est en tous les cas l'arrière goût que laisse le décor de cette affaire. La Démocratie semble être à la carte : on choisit, selon ses opinions personnelles, quel principe fondamental mérite d'être défendu corps et âme.

    Cam.


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  • Mal élevée comme je suis, je disparais et réapparais sans faire, ni de révérance, ni de message de "re-accueil".

    et bien voilà! Vous constaterez que le paysage du blog à changer, peut-être certains de mes anciens lecteurs seront déçu, mais cette re-naissance blogguienne modifie totalement le contenu de cette page: plus de petites histoires à l'eau de rose, mais plutôt les articles que j'ai l'occasion d'écrire et aussi des appels à témoin (expression en vogue) pour m'aider à réaliser mes recherches journalistiques.

    Pour les déçus, les anciens posts sont toujours accessibles (après tout vous les avez peut-être oublié!) !!!!

    J'espère en tout cas que vous ne me tiendrez pas rigueur de cette absence prolongée.........................

    BIENVENUE!!!!!
    Cam


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    LE CIRQUE PARLEMENTAIRE ou LES CHOUX GRAS DES MEDIAS

     Rétrospective

     

    Après le CNE, le Contrat Première Embauche (CPE). Voté à l'Assemblée Nationale à 2h30 du matin, le jeudi 9 février, il fait aujourd'hui l'objet d'une contre-offensive de l'opposition parlementaire. C'est au nom de l'égalité des chances et de la nécessité de résorber le chômage que le premier ministre Dominique de Villepin a proposé le CPE. Destiné aux jeunes de moins de 26 ans, il ne se transforme éventuellement en CDI qu'après une période de 24 mois, au cours de laquelle l'employeur peut licencier son employé sans motivation.

     

    Le débat parlementaire, commencé le 31 janvier, a été sciemment ralenti par les opposants socialistes : l'obstruction parlementaire systématique a permis  de poursuivre le débat jusqu'à la journée de manifestation du mardi 7 février. Echec pour la droite, démarrage prometteur pour la Gauche, la fronde de la jeunesse est leur principal point d'appui pouvant faire basculer la décision parlementaire. Apparemment. C'est d'ailleurs en connaissance de cause que le calendrier parlementaire a été avancé. Plus encore, ça a été au tour de l'article 49-3 de la Constitution de faire passer à la vitesse supérieure l'adoption du projet de loi. Le premier ministre est venu, lui-même, dans l'hémicycle annoncer l'engagement de la responsabilité gouvernementale. Au côté de Nicolas Sarkozy, l'homme qui n'a jamais reçu l'onction du suffrage universelle a déclenché bronca, invectives, chahut et claquements de pupitre. Le 49-3 permet l'approbation de la loi sans débat. L'UMP ayant la majorité absolue à l'Assemblée, le vote passe sans aucun doute. Ils ont alors dix jours pour la voter.

     

    Motion de censure comme arme fatale

    Suspense à haute-tension pour les camps adverses. L'opposition a déposé une mention de censure avec comme proposition alternative l'équivalent des emplois jeunes pour le secteur privé. Le Premier Ministre avait peu de chance de démissionner au vue de la majorité UMP à l'assemblée. L'article 49-2 stipule qu'il faut  la signature d'un dixième des députés, soit cinquante-sept. Aussi François Hollande, ulcéré a donné rendez-vous à la Droite aux présidentielles.

    Le débat s'est déplacé de l'Assemblée Nationale à la rue. Les organisations étudiantes et lycéennes continuent d'appeler à la mobilisation. Une manifestation est prévue le jeudi 23 février à Paris et Bordeaux. C'est le 7 mars qu'une manifestation interprofessionnelle aura lieu, FO, LCR, et LO souhaitent hausser le ton. La CGT préfère laisser ses entreprises et secteurs décider. La parole est à la rue, mais elle ne fait que murmurer quand on entend les dirigeants des partis de gauche et organisations syndicales vociférer au micro des médias. Les choux gras sont pour ceux-là. 

    cam


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  • Une nouvelle ère : Les femmes au pouvoir !

     

     

    Michelle Bachelet est, depuis le 15 janvier, la première femme élue chef d'Etat en Amérique du Sud. Peu avant elle, Ellen Johnson Sirleaf ouvrait, elle aussi, les portes de la présidence pour les femmes au Libéria. En Finlande, Tarja Halonen est réélue depuis le 29 janvier et obtient 51,8% des suffrages. Le monde compte aujourd'hui six femmes présidentes et cinq autres chefs de gouvernement. S'agit-il d'un nouveau phénomène sociologique et politique ? La question est posée.

     

    La présence féminine sur la scène politique, concentrée ces derniers mois, nous rappelle le jour du droit de vote des femmes en France le 21 avril 1944. Le long combat des femmes à être considérées comme l'égale des hommes connaîtrait aujourd'hui sa totale réussite. Il nous faut pourtant mentionner que d'autres femmes ont été actrices politiques : en Argentine, Isabelle Peron, veuve du président Juan Domingo Peron, lui a succédé de 1974 à 1976. En Islande (Vigdis Finnbogadottir de 1980 à 1992 par deux mandats), en Irlande ( Mary Robinson de 1988 à 1997), au Sri Lanka (Chandrika Kumaratunga pendant onze ans à partir de 1994), au Panama (Mireya Moscoso, veuve du caudillo populiste Arnulfo Arias de 1999 à 2004) et enfin en Indonésie (Megawati Soekarnoputri de 2001 à 2004). Pas moins de dix femmes ont connu la fonction de premier ministre, en Inde, en Israël, en Norvège, en Turquie, au Sénégal ou encore en France pour ne citer que quelques pays. Margaret Thatcher, connu sous le nom de « la dame de fer » a redressé économiquement la Grande-Bretagne et est restée onze ans au pouvoir. Notons que la plupart ont succédé leur mari ou ont été femme « à poigne », de celles qui sont qualifiées de « femme/homme ». La nouveauté se trouve alors davantage dans la perception que les peuples ont des femmes qui accèdent au pouvoir, plutôt que dans son nombre. On parle aujourd'hui de femmes « au pouvoir » plutôt que de femmes « de pouvoir ».

    Ce constat s'explique facilement quand on soulève le fait que l'image des hommes politiques a tendance à s'étioler depuis quelques temps.

    Les populations sont prêtes à voter pour des femmes pourvu que naisse une nouvelle dynamique politique et que leur personnalité soient rassurante Il est toutefois dénaturer de parler de véritable phénomène : la représentation des hommes et des femmes dans le monde politique est loin d'être paritaire. Le succès que ces femmes rencontrent, bien que conjoncturel, se présente comme une importante remise en question que les dirigeants déjà présents devraient avoir. Le phénomène peut, toutefois, encore attendre avant de devenir structurel : L'exercice du pouvoir pour les femmes n'a jamais été une soif, contrairement aux hommes qui pâtissent aujourd'hui de leur absence de modération.

    cam


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